1. |
Amours à Paris
03:54
|
|||
Une histoire vite commencée, qui s’écrit à l’imparfait.
C’était Paris en été, tournée court en juillet.
Près du canal Saint-Martin, vous vous êtes tenu la main,
Mais rue Gaston Couté, tous c’est très vite envolé.
Oh petite fille, aux yeux de chocolat
Tu te cherches dans la ville un homme fou de toi.
Oh petite fille, aux yeux de chocolat
Tu te cherches dans la vie un homme comme toi.
Puis un beau matin d’automne, t’as vu ce drôle de bonhomme.
Remonter Montmartre à pied, quand vos yeux se sont croisés.
C’était rue Mont Cenis, et ton cœur t’a crié « Oui »,
Vous vous êtes embrassés et Paris est à vos pieds
Oh petite fille, aux yeux de chocolat
Tu te cherches dans la ville un homme fou de toi
Oh petite fille, aux yeux de chocolat
Tu te cherches dans la vie un homme comme toi
Oh je te l’assure, je te rassure je serai toujours à côté pour toi.
Oh je te rassure, je te l’assure je serai toujours à côté pour toi.
Oh je te l’assure, je te rassure je serai toujours à côté pour toi.
|
||||
2. |
||||
3. |
Été, Amours et Nostalgie
03:40
|
|||
Des fois, je revois ta silhouette me conter à nouveau notre histoire d’un été.
De la baie de Rio jusqu’aux ruines d’Italie, nous voguions sans rien attendre de la vie.
J’entends encore cette chanson qui résonne,
Et cette douce mélodie, que tu fredonnais même la nuit.
Doit il y avoir une fin, je ne veux pas de demain, mais la radio sans remords, nous prédit :
« io sento solo pena, io sento solo pena,
Quando mi sveglio, tu non ci sei , e lei mi manca.
io sento solo pena, io sento solo pena,
Quando mi sveglio, tu non ci sei , e lei mi manca. »
|
||||
4. |
Été 88
05:43
|
|||
Es-tu fin prêt, l’été nous appelle, il ne faut pas qu’on traîne.
On s‘envolera au-dessus des Alpes, car la route fondera.
Sur le siège arrière je scrute la terre.
Celle que je vois de loin, mais celle qui me complète.
J’écoute une fois encore cette cassette.
Plus qu’un dernier refrain, ça y est on y est presque.
Il fait si chaud, les après-midi sont comme des aires de repos.
On court sur la plage, au milieu des badauds on se délecte de l’eau.
C’est cool le soir on s’apprête pour sortir,
Faites vite la vaisselle, je vous donnerai quelques Lires.
Et sn se sent pousser, pousser des ailes, on peut faire comme les grands et que la nuit est belle.
Mais pourquoi soudain on a grandi.
Mais pourquoi soudain on a grandi.
Je veux faire encore une partie.
Dans cette salle d’arcade tout est permis.
Mais pourquoi soudain on a grandi.
Je remets une pièce, et c’est parti.
|
||||
5. |
Cette nuit d'été
03:34
|
|||
Il est temps es-tu fin prêt, là où je t’emmène tu ne trichais jamais.
Le chemin est parsemé de ces souvenirs que tu te cachais.
Ce n’est pas si loin, ce doux parfum, qui te ramenait à ces nuits d’été.
Tout en douceur, tout en douleur, jusqu’aller puiser loin dans tes pensées. Enfouies.
Allongé sur la jetée, c’est comme si le temps jamais ne s’écoulait.
Vous n’aviez rien à penser, juste à vous planquer, votre grand secret.
Tout ressurgit, toute cette envie, comme si vous aviez encore toute la vie.
Sur cette plage, tant de courage, vous vous entrainiez à ne plus être sage.
Oh oui, tu ne peux plus respirer, tout te paraît tellement vrai.
Si seulement tu le pouvais, rester dans cette nuit d’été.
Il est temps es-tu fin prêt, là où je t’emmène il n’y a qu’un aller.
|
Streaming and Download help
If you like Été, Amours et Nostalgie, you may also like:
Bandcamp Daily your guide to the world of Bandcamp